III est fait du même tissu que les rêves : Ayloss y crée une fantasmagorie où tout peut arriver ; et quand je dis "tout", ça dépasse votre entendement. Son black metal atmosphérique oscille entre rêves et cauchemars ; il est antique avec sa guitare acoustique, son violon et sa harpe et nous fait voler dans les étoiles ; sa poésie illogique fait imaginer l'inconcevable et parle à la raison — il faut vraiment la lire !
Quatre-vingt-dix minutes que l'on ne sent pas passer. Un grand chef-d'œuvre ! Jordan Vauvert